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Deux jeunes virtuoses jouent Gaston Litaize, entretiens :

Ophelia Amar

 

 

Ophelia Amar est une organiste franco-britannique basée à Londres. Elle est diplômée du Conservatoire à Rayonnement Régional de Saint Maur-des-Fossés et de la Royal Academy of Music de Londres (Master of Music et Advanced Diploma en orgue), ainsi que des Universités Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Paris-Sorbonne, Ludwig-Maximilians à Munich et d’HEC Paris. Elle poursuit actuellement une carrière de récitaliste, chercheuse et enseignante en Angleterre. Elle est depuis janvier 2024 l’administratrice du Festival International d’orgue de St Albans.

Vous avez choisi de jouer des œuvres de Gaston Litaize lors de vos récitals et, récemment, vos

examens. Lesquelles ? Pourquoi avoir pris le parti de jouer ce compositeur ? Et dans quel

contexte les présentez-vous ?

 

Je suis actuellement en train de travailler l’intégralité des Douze Pièces pour Grand orgue, pour un projet d’enregistrement.

J’ai découvert ces pièces au fil du temps, en commençant par le Lamento puis le Lied. L’envie de continuer est vite venue ! Il s’agit d’une musique magnifique, encore trop peu connue et peu jouée, alors même qu’elle rencontre toujours un franc succès auprès des auditeurs (qu’ils soient musiciens ou non).

Je me réjouis de jouer les pièces d’un jeune compositeur, de me pencher sur ce recueil qui rassemble ses premières compositions pour l’orgue. Ces douze pièces témoignent d’évolutions et de recherches ; les travailler en même temps est donc passionnant. Je me plonge dans l’univers du jeune étudiant au Conservatoire de Paris qu’était Gaston Litaize dans les années 1930, alors aux débuts de sa riche carrière.

 

Qu’est-ce que la musique de Gaston Litaize représente pour vous à titre personnel ?

 

J’ai découvert la musique de Gaston Litaize lors d’un concert-hommage en son honneur au Conservatoire à Rayonnement Régional de Saint-Maur en novembre 2016. Étudiante pianiste au CRR, j’étais encore toute nouvelle dans le milieu de l’orgue – je venais tout juste de débuter l’apprentissage de ce nouvel instrument. Ce concert magnifique, au cours duquel furent interprétées quelques-unes de ses pièces de musique de chambre avec piano, fut suivi d’une réception où je pus avoir, au travers d’anecdotes et de souvenirs partagés par ses anciens élèves,

un aperçu de la personnalité haute en couleurs de Gaston Litaize. Véritable patriarche de l’orgue à Saint-Maur, il est aussi en quelque sorte le « père » de toute une lignée d’organistes, dans laquelle j’espère pouvoir me compter humblement aujourd’hui.

J’apprécie beaucoup la musique de Gaston Litaize. Je me sens en phase avec la légèreté que l’on peut trouver dans certaines pièces, aux côtés d’un lyrisme et d’une réflexivité que l’on perçoit dans d’autres. C’est, selon moi, une musique qui sait à la fois être profane et sacrée, et qui me touche profondément.

 

Comment la situez-vous par rapport aux œuvres de ses maîtres, particulièrement Vierne,

Tournemire et Marcel Dupré ?

 

La musique de Gaston Litaize a une place bien à part et est, bien entendu, le reflet unique de son créateur. Je perçois une similitude, dans le style et le format des Douze Pièces, avec la musique de Louis Vierne : il s’agit de véritables « pièces de caractères », tout comme les Pièces en style libre, toujours très poétiques et évocatrices.

L’originalité de certaines registrations indiquées par Gaston Litaize peut parfois faire penser à la musique de Charles Tournemire, de même que l’attention portée sur l’articulation, très importante dans l’interprétation des œuvres de ces deux compositeurs…, bien que leurs style soient évidemment très différents. Si Tournemire est un compositeur au mysticisme évident, la musique profane de Gaston Litaize n’en est pas exempte non plus – on peut penser à l’Interlude des Douze Pièces, par exemple.

Mais je perçois également, dans l’esprit de l’œuvre de Litaize, l’influence de Maurice Ravel, et également parfois de Maurice Duruflé, qu’il côtoyait au Conservatoire de Paris.

 

Comment envisagez-vous l’interprétation de cette musique ? Peut-on prendre selon vous quelques libertés, par rapport au tempo, par exemple, ou préférez-vous jouer exactement comme lui (sachant que son interprétation a évolué avec le temps) ?

 

Il me semble que cette musique se prête à une certaine liberté d’interprétation – teintée d’une véritable âme

« française », où l’esprit surplombe peut-être un petit peu la lettre. Trop de rigidité serait contre-nature pour ces œuvres d’une richesse infinie. Il est parfois nécessaire de ne pas respecter les tempi indiqués par Litaize – à cause d’une acoustique trop généreuse, par exemple, qui ferait obstruction à la clarté. Je pense qu’il faut avant tout chercher à garder le caractère, la finesse et la clarté de la pensée musicale, et ceci peut s’obtenir avec toute une gamme de tempi différents. En définitive, l’esprit de l’œuvre doit toujours être notre premier guide.

S’agissant de registrations, j’ai remarqué que les Douze Pièces pouvaient se prêter à quelques libertés. Comme je travaille souvent sur des orgues anglais, je n’ai pas toujours à ma disposition des jeux typiquement français, mais cela m’a rarement posé problème – il faut parfois juste opérer une petite gymnastique pour faire sonner l’instrument « à la française », ou accepter des sonorités sensiblement différentes mais in fine tout aussi convaincantes.

J’ajouterais ici que liberté ne veut pas dire manque de rigueur. Je pense devoir jouer cette musique comme j’imagine la personnalité de son compositeur : libre, ouverte et créative, mais aussi intransigeante et précise.

 

Cette musique vous semble-t-elle toujours actuelle ?

 

Oui, assurément ! Mes expériences récentes m’ont montré que le public apprécie toujours beaucoup cette musique. D’une manière générale, par sa richesse et sa beauté, la musique française de cette époque attire et n’est pas près (à mon avis) de perdre son aura. Et c’est à nous, musiciens, de transmettre ce fabuleux patrimoine, en veillant à faire découvrir des œuvres de cette époque qui seraient un petit peu moins connues et moins jouées aujourd’hui. Pour les organistes, la musique de Gaston Litaize s’insère merveilleusement dans un programme de

récital, mais peut également avoir sa place dans la liturgie.

 

Allez-vous continuer à la jouer par la suite ?

 

Bien entendu, et je n’ai pas l’intention de m’arrêter aux Douze Pièces. C’est toujours un vrai bonheur d’apprendre et de partager la musique de Gaston Litaize.

Alma Bettencourt

 

Née en 2004, Alma Bettencourt commence le piano à 5 ans. À partir de 2014, elle

poursuit ses études dans la classe de piano d’Elena Rozanova au CRR de Paris et

simultanément à partir de 2016 dans la classe d’orgue d’Éric Lebrun au CRR de

Saint-Maur-des-Fossés où elle obtient en 2019 son DEM. De 2019 à 2021, elle est

élève de Romano Pallottini et obtient son DEM de piano en 2021. Au Conservatoire

National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, Alma Bettencourt étudie

l’orgue avec Olivier Latry et Thomas Ospital depuis 2020 et le piano avec

Emmanuel Strosser et Cécile Hugonnard-Roche depuis 2022. Elle obtient sa

Licence d’Interprétation en orgue en mai 2023.

Vous avez choisi de jouer des œuvres de Gaston Litaize lors de vos prochains concours et examens. Lesquelles ?

 

Je jouerai en octobre prochain le Scherzo des Douze pièces de Gaston Litaize a l’occasion du Concours International d’Orgue de Montréal pour lequel j’ai été sélectionnée. Le règlement du concours invite les candidates et candidats à choisir une ou deux pièces parmi les Douze pièces, sachant que ce concours est doté d'un prix Gaston Litaize.

 

Pourquoi avoir pris le parti de jouer ce compositeur ? Et dans quel contexte les présentez-vous ?

 

Je ne connaissais pas beaucoup l'œuvre de Litaize mais je l'ai davantage découverte grâce à mes deux professeurs, Éric Lebrun et Olivier Latry qui ont été eux-mêmes élèves et successeurs à la classe d'orgue Saint-Maur-des-Fossés. La première œuvre de Gaston Litaize que j'ai jouée était lors d'un concert à Montereau-Fault-Yonne, il s'agissait du Prélude liturgique n°2 "Dans l'esprit d'un Noël populaire". Cette année j'ai joué pour mon examen de Master 1 le Lied et le Scherzo des Douze pièces

Qu’est-ce que la musique de Gaston Litaize représente pour vous à titre personnel ? Comment la situez-vous par rapport aux œuvres de ses maîtres, particulièrement Vierne, Tournemire et Marcel Dupré ?

 

Lorsque j'ai travaillé le Lied, j'ai ressenti une grande influence ravélienne sur le plan mélodique et harmonique. Le Scherzo, de mon point de vue, se rapproche de certaines pièces virtuoses et pleines d'humour de Louis Vierne. Je pense par exemple à l'Allegro Vivace de la 1ère symphonie que j'ai enregistré au CNSMDP. 
Comment envisagez-vous l’interprétation de cette musique ? Peut-on prendre selon vous quelques libertés, par rapport au tempo, par exemple, ou préférez-vous jouer exactement comme lui (sachant que son interprétation a évolué avec le temps) ?
Pour moi l'interprète peut tout à fait prendre des libertés, notamment sur les tempi, je pense au Scherzo par exemple, ainsi que sur le plan de l'expressivité. Les longues phrases mélodiques du Lied en sont un bon exemple.
Cette musique vous semble-t-elle toujours actuelle ?
Je pense que cette musique mérite d'être davantage jouée. J'ai été heureuse de la découvrir plus particulièrement cette année. En dehors de l'orgue, Gaston Litaize a écrit des œuvres vocales et instrumentales nombreuses. Elles sont, me semble-t-il, encore moins souvent interprétées. 

 

Allez-vous continuer à la jouer par la suite ?

 

Pour les concerts de cet été j'ai inscrit, à plusieurs de mes programmes, le Scherzo. C'est de la musique qui me plaît beaucoup et qui correspond à ma sensibilité artistique et c'est pourquoi je souhaite continuer à l'étudier et à la défendre.

 


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Merci d'avance de votre intérêt.

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Gaston Litaize, organiste, compositeur, pédagogue.

Le jeune Gaston Litaize entouré sa maman et sa petite soeur.
Le jeune Gaston Litaize entouré sa maman et sa petite soeur.

Gaston Litaize est né le 11 août 1909 dans le petit village vosgien de Ménil‑sur‑Belvitte, près de Rambervillers, dans une  famille modeste d ' ouvriers dont il était le huitième et avant-dernier enfant. Quelques jours après sa naissance, il est victime d'une maladie qui le prive à jamais de la vue suite à une négligence de la sage-femme qui l'avait mis au monde. Ce handicap que Gaston Litaize considérera toute sa vie comme un miracle va lui permettre de quitter son village pour entreprendre des études à l'institution des Jeunes Aveugles de Nancy à partir de 1917. Il devient  l'élève de Charles Magin auprès duquel il débute l'étude du solfège, du piano, du chant choral et de l'orgue. Devant les  dons exceptionnels de son jeune élève, Charles Magin étend son enseignement à l'étude de l'harmonie, du contrepoint et l'improvisation, puis lui propose de poursuivre ses études à l'institution Nationale des Jeunes Aveugles de Paris. A cette époque, l'Institution du boulevard des Invalides était un des foyers de la culture musicale dans la capitale. Entré en 1926, Gaston Litaize eut l'occasion de s'y perfectionner auprès de professeurs renommés tels que Gaston Régulier pour le piano ou Adolphe Marty pour l'orgue. Ce dernier, élève de César Franck et garant d'une tradition symphonique vieillissante, avait pour collègue un jeune organiste du nom d'André Marchal. Pionnier de l'orgue néo‑classique, André Marchal devait révolutionner le monde de l'orgue en France et Gaston Litaize, sans avoir été à proprement parler son élève, fut fortement influencé par l'esthétique et la nouveauté en matière d'interprétation et de choix du répertoire apporté par celui-ci. 


G. Litaize au château de Fontainebleau (concours du prix de Rome)
G. Litaize au château de Fontainebleau (concours du prix de Rome)

En octobre 1927, Gaston Litaize entre au Conservatoire de Paris à l'âge de 18 ans dans la classe d'orgue de Marcel Dupré aux côtés de Jean Langlais, Olivier Messiaen et Noëlie Pierront. Il y travaille d'arrache‑pied, perfectionnant sa virtuosité, devenant maître dans l'art d'improviser. En 1930, il obtient le poste d'organiste à Notre‑Dame‑de‑la‑Croix à Ménilmontant, avant d'être récompensé l'année suivante par un Premier Prix à l'unanimité en orgue et en improvisation.

Le 8 septembre 1932, il se marie avec celle qui devait l'accompagner tout au long de son existence, guidant ses pas lors de ses nombreux déplacements et transcrivant ses travaux de composition. Avec Simone Litaize, il s'installe à Thiers où il occupe le poste d'organiste à l'église Saint‑Genest tout en poursuivant ses études d'écriture au Conservatoire de Paris. Premier Prix de fugue dans la classe de Georges Caussade aux côtés de son ami Jehan Alain en 1933, il quitte Thiers pou s'installer à Nancy où il vient d'être nommé titulaire du Cavaillé‑Coll de l'église Saint‑Léon IX. Sur les conseils de Louis Vierne, il entre dans la classe de composition du maître Henri Büsser aux côtés de Marcel Bitsch, Jacques Chailley, Henri Dutilleux, et devient titulaire de l'orgue de Saint‑Cloud. A Paris, il rencontre Charles Tournemire, Charles‑Marie Widor et se lie d'amitié avec Florent Schmitt. En 1935, i1 obtient le Premier Prix du concours d'improvisation et d'exécution des Amis de l'Orgue et est récompensé l'année suivante par le Prix Rossini pour son oratorio Fra Angelico. Au Conservatoire, il complète sa culture musicale en fréquentant la classe d'histoire de la musique de Maurice Emmanuel auprès duquel il découvre les différentes théories modales qui auront une influence prépondérante sur ses compositions, En 1937, ses études dans la classe d'Henri Büsser sont récompensées par un Premier Prix de Composition pour son Concertino pour piano et orchestre. En 1938, il obtient un Second Grand Prix de Rome pour sa cantate L'Anneau du roi.

 

La classe d'orgue de Marcel Dupré au Conservatoire de Paris (Gaston Litaize 2ème à droite, Jean Langlais 2ème à gauche)
La classe d'orgue de Marcel Dupré au Conservatoire de Paris (Gaston Litaize 2ème à droite, Jean Langlais 2ème à gauche)

Nommé professeur à l'institution Nationale des Jeunes Aveugles de Paris, il fait partie de la résistance pendant l'occupation et devient responsable des émissions religieuses à la Radiodiffusion Française à la libération. Il occupera cette fonction pendant 31 ans, assurant la radiodiffusion des différents cultes (catholique, protestant, israélite) aux côtés de Léon Algazi, Alexandre Cellier, Marie‑Louise Girod, Auguste Le Guennant ( ...) Titulaire dès 1946 de la tribune de Saint‑François‑Xavier, il assure en plus de ses nombreuses fonctions de professeur, producteur et organiste liturgique, de nombreux récitals en France et à l'étranger et enregistre de nombreux disques dans lesquels il met en valeur des pièces encore méconnues du répertoire et contemporain. Il est un des premiers à faire redécouvrir la saveur de la musique française de l'époque classique (Couperin, Grigny, Lebègue, Marchand ) et renouvelle l'interprétation de l’œuvre de J.‑S. Bach, obtenant le Grand Disque en 1957 pour son intégrale de l'Orgelbùchlein. Avec le musicologue Jean Bonfils, il fonde en 1953 la collection "L'Orgue Liturgique" aux éditions de la Schola Cantorum dans laquelle il publie plusieurs de ses compositions ainsi que des partitions de  musique ancienne restituées. Membre de la Commission des Orgues des Monuments Historiques, il participe à l'élaboration de restaurations et devient un des pionniers de l'orgue néo‑classique aux côtés de Norbert Dufourcq ou André Marchal, Musicien d'église, il affirme dans la plupart de ses pièces une foi inébranlable, construisant la quasi‑intégralité de son oeuvre pour et autour de la liturgie. 0blat de l'abbaye de Solesmes, il porte un intérêt tout particulier aux chant grégorien et élabore une notation braille spécifique pour  l'écriture du plain‑chant. En 1975, il devient professeur d'orgue au conservatoire de Saint‑Maur‑Des‑Fossés, consacrant beaucoup de temps, d'énergie et de dévouement à cette classe qui devient bientôt l'une des plus prestigieuses sur le plan national et international. Parmi ses nombreux élèves, citons Denis Comtet (qui lui succède à la tribune de Saint‑François‑Xavier), Olivier Latry (titulaire des  grandes orgues de la cathédrale Notre‑Dame de Paris), Eric Lebrun (titulaire de l'orgue de l'église Saint‑Antoine‑des‑Quinze-Vingts à Paris et professeur d'orgue à Saint‑Maur), Christophe Mantoux (Grand Prix d'interprétation du Concours International de  Chartres). Gaston Litaize s'est éteint le 5 août 1991 dans sa maison de Fays dans les Vosges, dans cette région où il était né, et qu'il  aimait tant, après une vie bien remplie d'interprète, de compositeur, de pédagogue et d'homme de foi.

 

Sébastien Durand

Gaston Litaize aux claviers de l'orgue de Saint-François-Xavier à Paris
Gaston Litaize aux claviers de l'orgue de Saint-François-Xavier à Paris

Notre adresse Internet : contact@gastonlitaize.com